
Ce jeune wodaabé a peint son visage d'ocre et revêtu pagne d'apparat et longs colliers de perles.
Les woodabes (aussi nommés Bororos) sont une ethnie peul qui regroupe plus de 100 000 personnes au Niger (partie Sahel) Nomades, vivant de l'élévage, les woodabes -malgré l'essor de la religion musulmane - ont gardé leurs coutumes et leur tradition.
Chaque année, la cérémonie de la geerewol les réunit à Agadez. A la fin de la saison des pluies, cette grande fête permet aux jeunes femmes de choisir leurs époux , lors de danses et de chants et de concours de beauté, selon des coutumes précises.
Pendant le reste de l'année, hommes et femmes préparent leur s tenues et leurs parures de perles et de plumes.
Les éleveurs woodabés redoutent les grandes sécheresses qui leur font perdre leur bétail. C'est une vie difficile et de plus en plus souvent, les jeunes quittent la tribu pour tenter de trouver du travail dans les grandes villes du Niger.
A l'idéal esthétique des woodabés, s'opposent des conditions de vie de plus en plus difficile, beaucoup de nomades souffrent de mal nutrition. Les bouleversements climatiques à venir, et la tentation d'une vie "à l'occidentale", rendent incertains le maintien des traditions, et d'une société encore clanique.
De nombreux projets humanitaires visent à préserver cette ethnie peule.
Les woodabes (aussi nommés Bororos) sont une ethnie peul qui regroupe plus de 100 000 personnes au Niger (partie Sahel) Nomades, vivant de l'élévage, les woodabes -malgré l'essor de la religion musulmane - ont gardé leurs coutumes et leur tradition.
Chaque année, la cérémonie de la geerewol les réunit à Agadez. A la fin de la saison des pluies, cette grande fête permet aux jeunes femmes de choisir leurs époux , lors de danses et de chants et de concours de beauté, selon des coutumes précises.
Pendant le reste de l'année, hommes et femmes préparent leur s tenues et leurs parures de perles et de plumes.
Les éleveurs woodabés redoutent les grandes sécheresses qui leur font perdre leur bétail. C'est une vie difficile et de plus en plus souvent, les jeunes quittent la tribu pour tenter de trouver du travail dans les grandes villes du Niger.
A l'idéal esthétique des woodabés, s'opposent des conditions de vie de plus en plus difficile, beaucoup de nomades souffrent de mal nutrition. Les bouleversements climatiques à venir, et la tentation d'une vie "à l'occidentale", rendent incertains le maintien des traditions, et d'une société encore clanique.
De nombreux projets humanitaires visent à préserver cette ethnie peule.